critique &
création culturelle
Interview de l’été
Rudy Lamboray

Photographe passionné et autodidacte, Rudy Lamboray aime autant l’objectif de son appareil photo que celui d’une caméra. Conciliant ces deux passions, il a publié l’année passée un ouvrage inédit sur le cinéma belge : les 50 salopards . Poelvoorde, Renier ou encore Couchard, autant d’artistes francophones dont il a tiré un surprenant portrait.

Avec quel film partirez-vous en vacances cet été ?
Très certainement avec la série True detective dont la saison 2 a commencé le 20 juin. Surtout parce que Colin Fears y joue un rôle important. Certains disent que c’est moins bien mais je ferai mon avis moi-même !

Quelle serait la destination idéale pour vos vacances ?
Depuis des années, je rêve d’aller à New York, non pas pour les visites mais pour rencontrer des photographes et m’enrichir de ce qui font. Lorsqu’on est photographe, c’est important, il faut sortir de son cadre artistique : bouger avant tout.

Quelle serait votre activité estivale préférée ?
Être avec mon fis et partager des choses (comme aller au musée) dans une ville où il y a mille choses à faire…

Quelle activité culturelle (film, pièces, livres) retenez-vous de la saison qui vient de s’écouler ?
Au niveau des séries, True detective . Au cinéma Interstellar m’a beaucoup touché ; au théâtre j’ai été très impressionné par Discours à la nation . Enfin au niveau bouquin, le mien évidemment (rires), mais aussi Évitez les péages de Jérôme Colin.

Quels sont vos projets pour la rentrée ?
Je reviens du Festival de cannes cette année et le magazine bruxellois Watzby m’a proposé de collaborer avec eux pour la diffusion de mes portraits. Je vais aussi travailler avec Thomas Dutronc sur un tournage de film.

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