Le premier film de et avec François Damiens est en ce moment dans les salles obscures. Tourné en caméra cachée, il raconte l’histoire d’un père détenu en prison, prêt à tout pour, une fois dehors, retrouver son jeune fils Sullivan.
Le premier film de et avec François Damiens est en ce moment dans les salles obscures. Tourné en caméra cachée, il raconte l’histoire d’un père détenu en prison, prêt à tout pour, une fois dehors, retrouver son jeune fils Sullivan.
Chers Karoosiens et Karoosiennes, ou néophytes qui ne connaissez pas encore cette fabuleuse plateforme qu’est Karoo, il faut que je vous parle. Il faut que je me confesse. Non pas dans l’intention de vous distraire de vos impératifs, mais il faut quand même que je vous parle de ce phénomène, que dis-je, ce cataclysme qui s’abat sur les salles obscures en ce moment même. Une semaine après sa sortie, il avait déjà séduit 48 500 spectateurs.
Vous l’aurez deviné car le titre de cet article laisse un peu trop entrevoir son sujet. Il s’agit de Mon Ket , le nouveau film de François Damiens (alias François l’Embrouille), sur un scénario de Benoit Mariage, déjà connu pour avoir créé Strip-Tease et avoir joué un des journalistes du célèbre film C’est arrivé près de chez vous. Mais qu’est-ce que Mon Ket (comprenez mon fils en bruxellois) a donc de si particulier ? Entièrement tourné en caméra cachée, il offre 1 heure 30 de réactions brutes, naturelles et spontanées. Et quoi de plus hilarant que des personnes qui se lâchent ?
On connaît déjà François, véritable héros national en son plat pays, auteur de centaines de caméras cachées et à l’imagination ainsi qu’à la capacité d’improvisation débordante. On retrouve dans Mon Ket cette capacité à rebondir sur n’importe quelle situation, et à s’en sortir, quoi qu’il arrive. Le film nous permet, en tant que spectateur, de nous mettre à la place des personnes piégées, et ce n’en est que plus drôle.
De malaise en fou rire, de gêne en situations cocasses, l’Embrouille a encore frappé ! Mon Ket nous entraîne dans un tourbillon de Belgitude. Vous l’aurez compris, foncez voir ce film, vos abdos ne sortiront pas vivants de cet exercice !