Pour finir en beauté cette trilogie de critiques de Disney, j’ai sélectionné un des films qui m’a particulièrement séduite, après re-visionnage. Il s’agit d’ Hercule , le 50 e long - métrage d'animation et le 35 e « classique d'animation » des studios Disney, sorti en 1997. Certes il y a des remarques à énumérer, mais cette fois-ci j’ai davantage choisi de parler de ce que j’ai ressenti que de « ce qui cloche ».

Hercule est un jeune garçon, fils des dieux de l'Olympe, enlevé et transformé en semi-mortel par son oncle, le terrible Hadès, dieu des Enfers, qui ne rêve que de renverser son frère Zeus, père d’Hercule, et de gouverner sur l’Olympe.

Hercule, de son côté, cherche à regagner sa place auprès des dieux, des immortels. Il veut aussi prouver à son père Zeus qu'il peut devenir quelqu'un, plus particulièrement qu'il peut réussir à être un héros, et donc ne plus causer de tort aux gens mais les aider. Pour ce faire, il décide d’aller trouver Philoctète, l'entraîneur des héros les plus légendaires, afin qu'il s'occupe de lui. Celui-ci accepte et le transforme en héros. Hercule deviendra riche, célèbre et trouvera même l’amour auprès de la belle Mégara. Il ne lui restera plus qu’un seul et unique travail pour regagner les siens.