Yodel, comédie musicale1, pop érotisée tout public, aussi vulgaire que sophistiquée2 — à moins que ce ne soit le contraire.
Le hasard m’a remis dans les oreilles le Wind it up de Gwen Stefani.
J’ai moins que jamais résisté aux pulsations de la fanfare qui l’innerve. Ce formidable gimmick m’emballe à tous les coups ; chacun de ses retours a sur moi un triomphal effet.
Au bout de 3 minutes 10, replay !
C’est bien ce dont il s’agit : un remontant, une clé kitsch pour la vie — la fête ici et maintenant.