critique &
création culturelle
    Stéphane Deleersnijder

    Entre ombres et lumières, lucidité et aveuglement, blessures et cicatrisations, c’est l’histoire du balancement perpétuel de la vie humaine que j’essaie de raconter dans mon travail. Les contrastes sont ainsi très présents dans mes photos, lesquelles s’attachent à faire concorder artificiel et naturel dans une sorte de complémentarité entre les traces de l’humain et de ce qui ne dépend pas de lui… Je veille donc constamment à faire jouer les éléments naturels (ciel, fleuve, soleil, animaux, etc.) avec les empreintes humaines dans le paysage urbain quotidien.

    La base de chaque photo est donc très réaliste mais — tout comme dans nos vies qui se nourrissent de rêves, de fictions et de récits — j’essaie également de mettre en scène le début d’une histoire en me servant de lieux connus et moins connus, tout en faisant croire d’une certaine manière qu’on est ailleurs, afin de laisser s’exprimer librement l’imagination de l’observateur.

    M’efforçant, à la manière du poète René Char, de rendre l’ombre aussi élégante que la lumière, je m’attache à faire briller ce qui est sombre et, dans le même mouvement, à assombrir ce qui brille trop intensément.

    Entre ombres et lumières, lucidité et aveuglement, blessures et cicatrisations, c’est l’histoire du balancement perpétuel de la vie humaine que j’essaie de raconter dans mon travail. Les contrastes sont ainsi très présents dans mes photos, lesquelles s’attachent à faire concorder artificiel et naturel dans une sorte de complémentarité entre les traces de l’humain et de ce qui ne dépend pas de lui… Je veille donc constamment à faire jouer les éléments naturels (ciel, fleuve, soleil, animaux, etc.) avec les empreintes humaines dans le paysage urbain quotidien.

    La base de chaque photo est donc très réaliste mais — tout comme dans nos vies qui se nourrissent de rêves, de fictions et de récits — j’essaie également de mettre en scène le début d’une histoire en me servant de lieux connus et moins connus, tout en faisant croire d’une certaine manière qu’on est ailleurs, afin de laisser s’exprimer librement l’imagination de l’observateur.

    M’efforçant, à la manière du poète René Char, de rendre l’ombre aussi élégante que la lumière, je m’attache à faire briller ce qui est sombre et, dans le même mouvement, à assombrir ce qui brille trop intensément.



    Stairway to heaven, Liège, mai 2015

    Descente, Liège, avril 2015

    Tours, Liège, janvier 2015

    Passages, Liège, avril 2015

    Abri, Liège, janvier 2015

    Cages, Liège, mai 2015

    Noyades, Liège, avril 2015

    Textuel, Liège, mai 2015

    Révolutions, Liège, mai 2015

    Guerres, Liège, mai 2015

    L’amour (n’) est (pas) mort, Paris, novembre 2015

    Autoportrait, Liège, mai 2015

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